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SALAIRE: ENSEMBLE AVEC LA CGT DU GROUPE GDF SUEZ

Publié le par LA CGT ENDEL

GDF SUEZ c’est plus de 100 000 salariés en France dans l’énergie, l’environnement et les services, répartis dans plus de 200 entreprises… mais avec un seul PDG !

Pour être plus efficaces, les Syndicats CGT du groupe GDF SUEZ ont décidé de créer une coordination des fédérations CGT correspondant aux différents métiers du groupe.

Pour défendre VOS DROITS, VOS SALAIRES, VOS CONDITIONS DE TRAVAIL, rejoignez nous, la CGT est la 1er  Organisation Syndicale de GDF SUEZ avec 49 % des voix aux élections professionnelles.

 

Salaires à GDF-Suez : exigeons notre dû

 

Des profits pour certains…

GDF-Suez a réalisé en 2008 plus de 83 milliards d’euros de chiffre d’affaires et 6,4 milliards de résultats nets. La rente versée par GDF Suez aux actionnaires a progressé de 15% en 2008, 11% en 2009 et progressera de 5% en 2010. Des actionnaires qui, actuellement, touchent environ 70% des bénéfices… Quant aux stocks options et actions de performance, ce seront 200 millions d’euros qui vont être distribués à 8500 privilégiés du groupe, soit l'équivalent d'une augmentation de 2% pour les 220 000 salariés de GDF-Suez.

 

L’austérité pour les autres…

Pour 2010, dans les entreprises du groupe, les Directions proposent, au mieux, environ 1% d’augmentation pour les non cadres, et 0% pour les cadres, pour lesquels prévaut la négociation individuelle, c’est-à-dire… à la tête du client. Or, la masse salariale des 220000 salariés du groupe GDF-Suez représente 11 milliards d’euros : 10% d’augmentation générale des salaires pour tous les salariés du groupe représente 1,1 milliard d’euros. Soit moins de 20% des bénéfices !

Rajoutons à ce tableau, le plan de performance et synergie (EFFICIO), plan d’austérité qui va passer de 800 000 € à 1,8 milliards.

Et que dire des entreprises comme ENDEL, où 148 postes vont être supprimés à Fos-sur-Mer, Strasbourg et au Creusot en attendant la fermeture du site de Total à Dunkerque ou 100 salariés travaillait au contrat. Situation identique à INEO, SITA, FSA et d’autres… La solidarité «groupe» doit jouer : les salariés de ces entreprises doivent pouvoir trouver des emplois près de leur lieu de vie, sachant que GDF-Suez est composé de plus de 250 entreprises, réparties sur tout le territoire français.

 

Partager, c’est possible…

Au printemps 2009, les entreprises IEG du groupe ont demandé des comptes et ont obtenu quelques avancées. Maintenant, c’est au tour de SAVELYS ou COFELY où une grève générale est prévue le 16 mars de réclamer leur part. A juste titre… Car avec ses bénéfices, GDF SUEZ a les moyens de rétablir le partage des richesses que les salariés produisent : il est possible d’augmenter les salaires en redistribuant moins aux actionnaires.

Demandons au groupe GDF SUEZ d’appliquer ce que dit SARKOSY, 1/3 des bénéfices pour l’actionnaire, 1/3 pour les salariés, 1/3 pour les investissements.

 

Les salariés du groupe GDF SUEZ doivent demander des comptes et des augmentations de salaires pour tous. C’est possible !

 

Comme les entreprises déjà dans l’action agissez avec vos syndicats CGT pour faire aboutir toutes vos revendications.

 

                                                          Montreuil le 19 février 2010

----------------------------------------------------------------------------------

 

A retourner à la CGT – 263 rue de Paris – 93516 MONTREUIL Cedex

 

Pour agir pour mes revendications, j’adhère à la CGT

                       

NOM :                       Prénom :                   Adresse :

Ville :                               Tél : …………………………..

Entreprise :                                               SIGNATURE :

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DECLARATION DE LA CGT POUR LE 4 MARS 2010

Publié le par LA CGT ENDEL

Déclaration

 

de la Fédération des Travailleurs de la Métallurgie CGT

de la Fédération nationale des industries chimiques CGT

                                                                                                                                                   

 

4 mars 2010

Journée de débats et de mobilisations

pour le développement de l’industrie et de l’emploi

 

Emplois, salaires, reconnaissance des qualifications, conditions de travail et pénibilité, retraites : autant de questions qui méritent des réponses rapides pour de nombreux salariés en lutte.

La CGT porte depuis plusieurs années l’exigence d’une véritable politique industrielle dans notre pays et plus globalement en Europe.

L’année 2009 a été marquée par une série d’annonces de restructurations et de suppressions d’emplois dans l’industrie sous prétexte de crise économique mondiale.

Ces attaques contre le potentiel industriel actuel dans toute sa diversité et le savoir faire de milliers de salariés, ont des conséquences graves sur l’ensemble des activités économiques et sur notre protection sociale.

Cette casse industrielle est le résultat de politiques d’entreprises et de choix gouvernementaux d’abord tournées vers la finance et les dividendes versés aux actionnaires.

Paradoxalement, cette année a été également marquée par un retour au centre des débats des questions industrielles avec la tenue des états généraux de l’industrie.

La CGT a largement contribué à ce que ce débat se tienne en organisant notamment une manifestation nationale à PARIS, le 22 octobre dernier avec une participation de 30 000 personnes.

Le patronat et les représentants de l’état ont tout fait pour orienter les discussions dans l’intérêt des détenteurs de capitaux et des financiers. Ils ont demandé encore plus d’aide de l’état et des collectivités territoriales (comme l’abandon de la taxe professionnelle), encore plus de flexibilité pour les salariés, encore plus de rentabilité pour les actionnaires sans contrepartie ou contrôle réel.

La reconquête de l’industrie ne peut se faire sur la base des logiques de rentabilité et des visions courts termes qui ont abouti à la crise économique et sociale, dont les conséquences sont dramatiques pour le monde du travail et les retraités.

Pour rappel, la CGT a notamment proposé :

1 – développer les emplois et reconnaître les qualifications, avec de meilleurs salaires.

2 – d’accroître les efforts de recherche et d’innovation

3 – de développer une politique industrielle qui prend en compte les enjeux environnementaux avec la création

d’un pôle public énergétique, pour le développement de l’industrie moins carbonée.

4 – d’assurer le financement des investissements industriels et d’emplois, en mettant sous contrôle des CE l’utilisation des richesses créées par les salariés, et par la création d’un pôle public financier chargé notamment de réguler l’utilisation des fonds publics pour les entreprises et les PME.

5 – d’articuler modernisation de l’industrie et démocratie sociale et territoriale avec la création de comités interentreprises

Le gouvernement ne peut refermer « le dossier » des Etats généraux de l’Industrie comme il l’aurait souhaité après un discours du président de la république, initialement prévu début février. Le ministre annonce déjà que les états généraux se prolongeront durant l’année 2010 sous des formes diverses.

Dans certaines régions, des propositions CGT ont été retenues comme la création de comité interentreprises par filière.

Il faut donc amplifier la pression pour que le débat se prolonge dans les groupes industriels et les entreprises.

Qui mieux que les salariés eux-mêmes peuvent évoquer leur travail, leur entreprise pour en améliorer l’efficacité économique et sociale ?

Cette année 2010 démarre avec de nombreuses luttes sur la question des salaires et de l’emploi dans des entreprises comme TOTAL, PSA, SANOFI-AVENTIS, THALES, ARKEMA, ARCELOR/MITAL, FAMAR, les

chantiers navals STX etc.

 

Ces luttes permettent d’arracher des succès importants comme l’arrêt de plans de suppressions d’emplois à l’exemple de MECACENTRE dans la LOIRE, de GOODYEAR à AMIENS. Ces mobilisations rassemblent de nombreux salariés très souvent dans l’unité des organisations syndicales.

Elles permettent aussi d’arracher des succès en matière d’évolution du pouvoir d’achat et de prise en compte du déroulement de carrière.

Elles doivent s’amplifier pour peser dans les négociations annuelles obligatoires dans les entreprises et les territoires.

Enfin dans des groupes industriels s’engagent une réflexion pour examiner quelles réponses apportées à la pénibilité et au stress, à la détérioration des conditions de travail. Les discussions autour de l’emploi des seniors n’ont apporté aucune réponse sérieuse dans ce domaine.

Le débat national qui s’engage sur l’avenir des retraites doit être l’occasion d’intégrer toutes ces questions revendicatives pour un maintien de notre système par répartition, basé sur la solidarité sociale, une augmentation du niveau des pensions dans le cadre de l’âge légal de 60 ans au plus.

 

Le 4 mars, ensemble, poursuivons et amplifions la dynamique de mobilisations et de succès que nous connaissons avec des débrayages, des rassemblements dans toutes les entreprises, chaque territoire, chaque région.

 

                                       Montreuil, le 12 février 2010

 

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DECLARATION POUR LE 4 MARS 2010

Publié le par LA CGT ENDEL

Déclaration

 

de la Fédération des Travailleurs de la Métallurgie CGT

de la Fédération nationale des industries chimiques CGT

 

                                                                                                                                                   

 

4 mars 2010

Journée de débats et de mobilisations

pour le développement de l’industrie et de l’emploi

 

Emplois, salaires, reconnaissance des qualifications, conditions de travail et pénibilité, retraites : autant de questions qui méritent des réponses rapides pour de nombreux salariés en lutte.

La CGT porte depuis plusieurs années l’exigence d’une véritable politique industrielle dans notre pays et plus globalement en Europe.

L’année 2009 a été marquée par une série d’annonces de restructurations et de suppressions d’emplois dans l’industrie sous prétexte de crise économique mondiale.

Ces attaques contre le potentiel industriel actuel dans toute sa diversité et le savoir faire de milliers de salariés, ont des conséquences graves sur l’ensemble des activités économiques et sur notre protection sociale.

Cette casse industrielle est le résultat de politiques d’entreprises et de choix gouvernementaux d’abord tournées vers la finance et les dividendes versés aux actionnaires.

Paradoxalement, cette année a été également marquée par un retour au centre des débats des questions industrielles avec la tenue des états généraux de l’industrie.

La CGT a largement contribué à ce que ce débat se tienne en organisant notamment une manifestation nationale à PARIS, le 22 octobre dernier avec une participation de 30 000 personnes.

Le patronat et les représentants de l’état ont tout fait pour orienter les discussions dans l’intérêt des détenteurs de capitaux et des financiers. Ils ont demandé encore plus d’aide de l’état et des collectivités territoriales (comme l’abandon de la taxe professionnelle), encore plus de flexibilité pour les salariés, encore plus de rentabilité pour les actionnaires sans contrepartie ou contrôle réel.

La reconquête de l’industrie ne peut se faire sur la base des logiques de rentabilité et des visions courts termes qui ont abouti à la crise économique et sociale, dont les conséquences sont dramatiques pour le monde du travail et les retraités.

Pour rappel, la CGT a notamment proposé :

1 – développer les emplois et reconnaître les qualifications, avec de meilleurs salaires.

2 – d’accroître les efforts de recherche et d’innovation

3 – de développer une politique industrielle qui prend en compte les enjeux environnementaux avec la création

d’un pôle public énergétique, pour le développement de l’industrie moins carbonée.

4 – d’assurer le financement des investissements industriels et d’emplois, en mettant sous contrôle des CE l’utilisation des richesses créées par les salariés, et par la création d’un pôle public financier chargé notamment de réguler l’utilisation des fonds publics pour les entreprises et les PME.

5 – d’articuler modernisation de l’industrie et démocratie sociale et territoriale avec la création de comités interentreprises

Le gouvernement ne peut refermer « le dossier » des Etats généraux de l’Industrie comme il l’aurait souhaité après un discours du président de la république, initialement prévu début février. Le ministre annonce déjà que les états généraux se prolongeront durant l’année 2010 sous des formes diverses.

Dans certaines régions, des propositions CGT ont été retenues comme la création de comité interentreprises par filière.

Il faut donc amplifier la pression pour que le débat se prolonge dans les groupes industriels et les entreprises.

Qui mieux que les salariés eux-mêmes peuvent évoquer leur travail, leur entreprise pour en améliorer l’efficacité économique et sociale ?

Cette année 2010 démarre avec de nombreuses luttes sur la question des salaires et de l’emploi dans des entreprises comme TOTAL, PSA, SANOFI-AVENTIS, THALES, ARKEMA, ARCELOR/MITAL, FAMAR, les

chantiers navals STX etc.

 

Ces luttes permettent d’arracher des succès importants comme l’arrêt de plans de suppressions d’emplois à l’exemple de MECACENTRE dans la LOIRE, de GOODYEAR à AMIENS. Ces mobilisations rassemblent de

nombreux salariés très souvent dans l’unité des organisations syndicales.

Elles permettent aussi d’arracher des succès en matière d’évolution du pouvoir d’achat et de prise en compte du déroulement de carrière.

Elles doivent s’amplifier pour peser dans les négociations annuelles obligatoires dans les entreprises et les territoires.

Enfin dans des groupes industriels s’engagent une réflexion pour examiner quelles réponses apportées à la pénibilité

et au stress, à la détérioration des conditions de travail. Les discussions autour de l’emploi des seniors n’ont apporté aucune réponse sérieuse dans ce domaine.

Le débat national qui s’engage sur l’avenir des retraites doit être l’occasion d’intégrer toutes ces questions revendicatives pour un maintien de notre système par répartition, basé sur la solidarité sociale, une augmentation du niveau des pensions dans le cadre de l’âge légal de 60 ans au plus.

 

Le 4 mars, ensemble, poursuivons et amplifions la dynamique de mobilisations et de succès que nous connaissons avec des débrayages, des rassemblements dans toutes les entreprises, chaque territoire, chaque région.

 

                                       Montreuil, le 12 février 2010

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GDF SUEZ S'engraisse ENDEL Dégraisse

Publié le par LA CGT ENDEL

EN 2008, GDF-Suez a pompé un chiffre d’affaires de 83 milliards d’euros ! Pour mémoire, le produit de l’impôt sur le revenu en France n’a été “que” de 59 milliards d’euros…

Lors du CCE du 15 décembre 2009, la Direction ENDEL a annoncé la suppression de 74 postes sur 118 sur le site de Fos sur Mer, sans licenciement contraint, sans Plan de Sauvegarde de l’Emploi (PSE), mais avec l’ouverture d’un plan social d’accompagnement qui devra être terminé le 30 avril 2010…

Maintes fois, la CGT a dénoncé le travail pour un mono-client, le manque de redéploiement dans des activités annexes et donc la concentration du personnel sur un seul site. (ex : Arcelor Mital ou Total)

La direction ENDEL et son DRH, vous demande de vous auto licencier ! L’historique d’ENDEL, sur la gestion des effectifs suite à des pertes de marché, fermetures ou suppresions d’emplois, légitime nos arguments sur la conduite qu’elle va encore appliquer !

La seule façon qu’elle connaisse pour vous faire marcher, c’est les talons de chéques !!!

Quelle utopie de vous faire croire qu’un reclassement au sein du bassin d’emploi de Fos sur Mer est possible ?
 
Endel serait-elle la seule entreprise à cumuler ses erreurs de politique industrielle et les effets de la crise ?

ENDEL a-t-il un retour d’expérience et une réelle volonté de reclassement des ouvriers ? Cela se saurait !

« Diagnostiquer, évaluer, préconiser, communiquer, négocier et accompagner », ces valeurs ne sont pas celle d’ENDEL et de son actionnaire…

La seule solution « préméditée » qu’ils vous donneront c’est la mobilité géographique, pour vous, chers collégues, et pour vos familles.

Pour sa part, la CGT a interpellé M. MESTRALLET, lors du Comité de Groupe, du 15 décembre, pour étudier les possibilités d’emplois dans la groupe, sur les périmètres concernés, et qui pourraient être offertes au personnel ENDEL.

 La CGT, lui a même soufflé l’idée d’un accord de « partenariat » entre GDF/SUEZ et ENDEL ! Un comble !!!

Votre syndicat s’efforcera à privilégier cette solution, mais contrôlera toutes les initiatives de la direction...

Nous ne pensons pas que le plan d’accompagnement social de la direction ENDEL ne visera pas à accompagner les salariés licenciés dans leurs parcours, après licenciement mais d’abord à organiser la faisabilité de ces « licenciements » !!

Soyez sur que vous allez retrouver à vos pieds, la mobilité géographique, des allocations temporaires dégressives, une cellule de reclassement fictive et peut être des aides à la formation courte…

Si vos supérieurs viennent vous demandez de partir, contacter immédiatement vos élus CGT. 

 
                            

 

 

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BULLETIN SPECIAL SUR LE PERCO

Publié le par LA CGT ENDEL

CGT Groupe GDF Suez           

 

                 PERCO : système de retraite complémentaire par capitalisation

Résultats de la reprise des négociations

Le PERCO s’inscrit dans une logique où le salaire ne serait qu’une partie de la rémunération.

Pour la CGT, le salaire doit rester la valeur qui rémunère le travail et la qualification.  

La CGT n’entend pas entrer ou s’immiscer dans les choix individuels des salariés en matière d’épargne, elle tient cependant à concourir et à peser sur certains choix de redistribution des richesses dans les entreprises.

Comment accepter que la redistribution des richesses passe principalement  par l’Actionnariat.

GDF SUEZ propose un plan d’actions de performance où quelques 8549 personnes vont recevoir 202 Millions d’Euros soit l’équivalent d’une augmentation des salaires de 2% pour tous les salariés du groupe.

A Comparer avec un plan d’achat d’actions, à venir pour les 200000 salariés du groupe, qui se monte à 40 Millions d’Euros.

Avec 6,4 Milliards d’Euros de résultat net, le groupe peut augmenter les salaires ce qui serait plus équitable qu’une redistribution injuste.

 

La CGT a exercé son droit d’opposition sur le PERCO, renforcé par celui de la CFDT.

L’accord a donc été rejeté par l’équivalent de 70% du personnel.

GDF SUEZ a donc été dans l’obligation de re-ouvrir des négociations ce Lundi 23 novembre.

 

Résultats : Toutes les entreprises (environ 250) du Groupe seront adhérentes au PERCO

Des négociations devront s’ouvrir dans chaque entreprise afin de négocier avec les syndicats les sommes qui seront abondées.

L’accord est maintenant dans les mains des salariés et de leur syndicat CGT afin d’obtenir des abondements substantiels.

Grâce  à la CGT et son opiniâtreté à ne rien lâcher, mais aussi à son esprit de responsabilité, des avancés ont été possible.

La CGT n’a pas signé mais ne s’opposera pas, permettant ainsi d’acter les avancés dans cet accord.

Les salariés savent qu’ils peuvent compter sur la CGT pour la défense de leurs intérêts.   

_______________________________________________________________________________ 

A retourner à la CGT – 263 rue de Paris – 93516 MONTREUIL Cx                              

 

Pour agir pour mes revendications, j’adhère à la CGT                                         

NOM : …………………………………….              Prénom : ……………………………………..Adresse : ……………………………………………… Ville : ……………………………………Tél : …………………………..

Entreprise : ………………………………………………………                              SIGNATURE :

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